Dimanche 06 juillet 20205
A qui cette lettre s’adresse-t-elle ?
Pour le savoir, il te faut prendre un miroir afin d’observer ton reflet qui ne sera pas ton moi social.
Si tu aimes vivre sur ta montagne de certitudes comme évoqué dans la lettre précédente, il est une probabilité forte que celle-ci ne sera pas à ton goût en ce que la différence te sera tout aussi insupportable que celle que tu revendiques quotidiennement afin d’exclure tous ceux qui ne te ressemble pas et qui refusent de penser comme toi en raison qu’un mode de vie basé sur la responsabilité de la liberté t’est insupportable lorsque ceux qui s’en revendiquent te renvoient l’image que tu observes dans ton miroir chaque matin et dont le reflet n’a que faire de ton moi social teinté d’hypocrisie que tu dissimules avec maladresse derrière ton apparence vestimentaire et ton égo identitaire.
J’avais de prime abord imaginé aborder ce sujet sans un style familier d’adulescent réactionnaire, mais il me paraît plus simple de le traiter à la manière qui me sied le plus et qui comme à l’accoutumée sera obscur pour les lumières qui ne manqueront pas de me classer dans les rangs d’un Dark Vador de la psyché stellaire.
Que les fans adulescents de Star Wars me pardonnent, je n’ai pu m’empêcher de ce trait d’humour.
En ce temps où les machines reçoivent de l’humanité, un ersatz d’intelligence, de parole, de la mémoire, du désir et même de l’amour, une partie de l’humanité occidentalisée semble, à l’heure de la déconstruction tous azimuts, fasciné par sa propre disparition au point qu’elle milite pour sa propre dénatalité au profit d’autres populations qui seraient susceptible, à terme, de prendre sa place. Cette intelligence, artificielle, déjà, rédige ses devoirs scolaires, ses synthèses de réunions, son courrier professionnel et personnel, ses poèmes, simule des échanges et prétend interpréter ses émotions. Et tandis que la technique progresse à une vitesse toujours plus rapide, la psyché de la conscience humaine individuelle s’érode plus rapidement que les falaises de Douvres.
Il est une partie non négligeable du genre humain occidental qui ne rêve quotidiennement que de rester chez lui, confortablement installé dans un fauteuil ergonomique avec une puissante IA qui lui permettrait de vivre une vie parfaite, tout en se nourrissant des aliments les plus gras, salés et sucrés qu’il puisse trouver sur les rayonnages d’un Walmart virtuel de taille mondiale. Une vie parfaitement virtualisée au sein de laquelle le contact humain en serait réduit à des interactions composées de capteurs cérébraux simulant à l’identique les contacts physiques, qui, eux, seraient proscrits de son modèle de vie décroissant et pourtant ultra-virtualisé dont l’exemple le plus parlant est un film américain de 2009 avec pour acteur principal Bruce Willis (Clones). C’est pourquoi, en opposition à cette dissolution silencieuse de ce genre humain et de son liquide céphalorachidien, je me permets d’afficher ici, ce que je possède encore de vivant : mon corps, mon cerveau, mon cœur, mon esprit, mon âme et mon amour. Pas pour les algorithmes créés par l’homme et bientôt en autonomie par des machines, mais pour ce qu’il reste de présence humaine en ces sociétés occidentales inhumainement humaines. Le grand effondrement de la responsabilité individuelle au seuil du troisième millénaire au sein de nos sociétés occidentales individualistes gavées de droits, de ressources, d’outils technologiques, de drogues et de bouffe industrielle se trouve sur un point d’équilibre qui n’est plus ni la science, ni la technologie au service de l’humanité, ni même la morale publique qui, elle, s’effondre le plus violemment, mais l’idée même qu’un individu puisse encore être le maître de ses choix en l’étant également chez lui, tout en revendiquant son irresponsable individualité par tous les moyens.
Être maître de ses choix et chez soi, pourtant, suppose de vouloir conserver son libre arbitre et d’avoir une personnalité propre à soi. Descartes résumait cela par Ergo sum.
Je suis maître de mes choix individuels et je suis le maître de ma maison (au sens de la cérébralité).
Un adulescent occidental résumerait cela différemment.
Je suis maître de mes non choix et je suis le maître de la déconstruction de ma maison (au sens de ce qui lui reste de cérébralité).
Dans cette ère civilisationnelle émotionnellement victimocrate, que les Soviétiques auraient qualifié de décadente, l’homme contemporain préfère s’auto proclamer en tant qu’incompris, hypersensible ou poissard professionnel plutôt que de se penser au sens propre du terme comme un individu parfaitement libre de ses décisions individuelles qu’il revendique en permanence tout en fustigeant ceux qui se réclament d’un individualisme conquérant.
L’adulescent du XXIe siècle n’est jamais fautif de ses actes individuels qu’il promeut quotidiennement comme des droits inaliénables en ce que les responsables de l’effondrement de la société qu’il revendique comme lui appartenant pour la modeler à son image et qu’il fustige de par ses imperfections sont : les réacs, les vieux, ses parents, son ex, son professeur, son employeur, son banquier, les élites, les politiciens, les grévistes, la mondialisation ou encore les météorologues annonçant toujours la pluie après le soleil et les catastrophes naturelles.
L’inflation excusatoire individuelle prolifère à une vitesse rigoureusement identique des causes prétendument extérieures portées aux individualistes déviants afin de se déresponsabiliser du moindre ratage.
Quelques exemples typiquement victimaires émotionnellement afin d’illustrer le propos :
Traumatismes d’enfance ou scolaire recyclés en slogans identitaires par un refus d’entrer dans l’âge adulte avant 40 ou 50 ans.
Éco anxiété brandie comme étendard de victimologie au sein d’une société d’hyperconsommation.
Culte des animaux-jouets humanisés en opposition à la toxicité humaine animalisée.
Multiplication pathologique du flair des victimes qui détectent les pervers narcissiques dans leur entourage et sur une toile Internet sans odeur.
Rejet absolu de la rationalité au profit des croyances de bazar promues sur les réseaux sociaux en vogue chez toutes les victimes qui se fournissent chez les mêmes bonimenteurs.
Toute cette rhétorique de foire aux bestiaux conservée dans le formol n’a finalement qu’un but ultime auquel elle parvient sans peine en ce qu’elle se noie elle-même dans son élément. L’exigence, pourtant, se trouve à l’extérieur du bocal, à l’intérieur et à l’extérieur de soi-même et c’est précisément tout ce qu’il convient de fuir, car la responsabilité individuelle s’y trouve intrinsèquement associé et il ne saurait être question de l’accepter et d’en être comptable. Ce qui importe, c’est le repli communautaire identitaire numérique afin de rechercher d’autres victimes identiques afin de créer une société alternative qui sera un refuge tranquillisant.
Jadis, lorsqu’un enfant avait peur de l’obscurité de sa chambre lorsqu’il était l’heure de dormir, on le rassurait et on éteignait la lumière. Aujourd’hui, on lui accorde de conserver son smartphone comme une veilleuse pour avoir un brin de lumière et lorsqu’il s’agit de s’exposer en pleine lumière au lever du jour, ce même enfant choisit la pénombre de sa chambre afin de se rassurer avec la lumière de son smartphone, son addiction aux réseaux sociaux, la vie rêvée des autres qui vivent en pleine lumière et une propagande les maintenant dans leur état de victime permanente, afin de les convaincre qu’une société plus égalitaire est possible s’il s’expose en pleine lumière pour non pas affronter le monde et le rendre meilleur, mais pour afficher et revendiquer leur haine de la différence tant celle qui les compose est intrinsèquement étrangère à la société qu’ils rejettent en exigeant toujours plus de droit à cette même société dont ils refusent la moindre responsabilité individuelle pour en être une composante à part entière.
C’est le principe du chat qui se mord la queue en hurlant que sa queue soit mordue, et par conséquent mort encore plus fort.
Le renversement du tragique est que les sociétés anciennes avaient conscience que l’homme est et sera toujours faillible, fragile, limité, sujet à l’erreur et prompt à la perte de son identité, mais le destin commun d’une communauté d’individus réunis au sein d’un pays, d’une société, d’un clan, d’une tribu lui garantissait un destin, un espoir, un rêve, un avenir meilleur, alors que notre présent est victimaire, gémissant, plaintif, maladif, revendicatif, égocentrique, d’une violence qui rejettent désormais les limites arrachées à l’animalité de l’homme au fil des siècles. Les sociétés humaines occidentales étant parvenu au sommet de leur montagne d’ignorance, il n’en reste que le nihilisme de la réalité crue d’un monde trop humain qu’elles embrassent du regard avec dégout en revendiquant, en exigeant un amour de la différence tout en refusant l’altérité en ce qu’elle n’est pas conforme à une doctrine nihiliste qui, elle-même, est inexistante et d’écouter une parole dissonante offensante comme un alpiniste contemplerait le chemin parcouru assis sur le toit du monde en se plaignant de sa solitude et en méprisant cette humanité resté en bas de la montagne qu’il refuse désormais de rejoindre et ne lui accordant pas davantage le droit de le rejoindre là où il se trouve en ce qu’elle viendrait le troubler le silence et sa quiétude d’être parvenu à la fuir en ce qu’elle est insupportable à côtoyer.
La différence est toujours agaçante en ce qu’elle nous renvoie à notre propre altérité et à nos défauts et c’est là ce qui différencie l’humanité de l’animalité humaine.
La faiblesse est devenue un titre de gloire à afficher auprès de ses coreligionnaires comme une récompense et le symbole d’être parvenu à se vaincre pour ne se définir que par la souffrance personnelle qui se transformera en étendard afin de se reposer dans la paresse intellectuelle que l’on aura jamais quitté en ce qu’on était hyperémotif, hypersensible, différent, jeune, moderne et tellement persuadé que l’on nageait dans un océan de vérité absolue en ce que l’on refusait d’écouter et même d’entendre la moindre parole étrangère à notre idéologie nous étant parvenue d’autres personnes que de quelques gourous numériques en mal d’identité et n’ayant pour seule vocation que de trouver un sens à leur vie qui n’en avait aucune et pas davantage pour eux-mêmes.
L’authenticité d’un être humain trop humain est, pour les décérébrés une tare biologique à éradiquer, et pour les bergers qui dirigent ces troupeaux, une manière de trouver un sens à leur existence dont l’histoire n’en retiendra qu’ils n’en auront été que les fossoyeurs d’une humanité dont ils revendiquaient l’épanouissement dans le rejet de la différence qu’il appelaient de leurs vœux, dans l’apprentissage de la connaissance de l’ignorance généralisée, dans la victimisation destructrice de l’autre et de soi, dans l’anéantissement de l’histoire et du passé afin de bâtir une société nouvelle sans avenir sur des fondations inexistantes.
Tout se justifie toujours sur la condition de l’intégration par le rejet, car choisir, c’est renoncer et dans ce renoncement, on choisit de rejeter tout ce qui peut permettre l’intégration de l’individu à une société dont il lui revient de s’en saisir pour la rendre meilleure.
L’effort comme acte de résistance est une pente douce sur laquelle, il est devenu agréable de se laisser glisser vers la dissolution de l’effort en opposant une éthique minutieusement étudiée, qui est précisément celle du moindre effort, voire du refus de se mentir pour en fournir le minimal et si possible le plus silencieux et discret possible en étant confortablement installé dans son canapé, son fauteuil ergonomique, devant ses écrans d’ordinateur et de smartphone et prochainement de lunettes virtuellement immersive à défaut d’en améliorer une partie du monde réel aussi superficielle soit-elle, non pour sauver une humanité en partie dégénéré au dernier degré, mais pour s’offrir quelques miettes de dignité en croisant son propre reflet dans un miroir qui ne renvoie jamais de masque social.
La responsabilité n’a jamais consisté à tout réussir, ni à se hisser au-dessus de ceux qui la refuse en bloc, mais plus simplement d’assumer de s’en saisir pour être dans l’action immédiate en opposition à l’action immédiate de la refuser et de considérer ceux qui s’en saisissent comme des réactionnaires ayant pour projet de vouloir imposer leur idées à ceux qui refusent d’en avoir d’autres que celle qui consistent à n’en avoir aucune et qui est brandie comme une forme de résistance passive et qui n’a d’utilité que de gêner ceux qui refusent la stratification de l’esprit, du mouvement et de l’action et qui à bon droit peut être considérée comme un courant réactionnaire progressiste, ce qui est toujours idéologiquement un marqueur d’une tendance politique de ceux qui se prétendent toujours plus universalistes que leur propre coreligionnaires qui n’en sont que des pâles copies avant qu’elles-mêmes versent dans une idéologie réactionnaire toujours plus universaliste au profit d’un déshumanisme revendiqué comme une règle morale universellement prétendue comme profondément humaine.
Lorsque la transformation d’une société est un échec, c’est la transformation de l’indignation de l’individu qui permet à l’échec de ne plus être considéré comme tel, mais comme un progrès d’une transformation de l’adaptation à un milieu.
Vivre à l’écart du vacarme social, non par misanthropie comme l’auteur de cette lettre, mais par fidélité à une certaine idée de la pensée de la non action comme action individuelle forte revient à penser parmi les morts auxquels, on prête nos idées, nos pensées, nos réflexions et que l’on revendique comme des figures exemplaires d’autorités dont aucun de ceux qui s’en prétendent n’en connaissent davantage que le nom en ce qu’il est proclamé comme une figure morale par chacun, sinon ce qu’il est toujours envisageable de glaner sur Internet et qui ne sera pas autre chose qu’une simple bouillie composée de farine de tapioca aisément assimilable par n’importe quelle cérébralités pour peu que cela serve un discours, une idée provisoire et un combat contre un adversaire qui n’est jamais plus qu’un contradicteur, mais que l’on portera en ennemi du peuple et dont chacun se revendiquera comme étant seul le défenseur, le héros, le rédempteur propre à le combattre, à défaut de s’ériger avec des convictions pouvant emporter l’assentiment des vivants qui choisissent l’action de vivre quotidiennement leur vie.
Le vacarme social n’est jamais autre chose que de la bouillie cérébrale qui s’exprime de vive voix.
Ergo sum de Descartes est désormais la définition d’une aliénation mentale grave d’une meute paralysée dans l’inaction qui refuse de s’insérer dans une société qui ne gémit pas en chœur sur ses imperfections et qui s’oppose à la volonté et à la lucidité libératrice de tous les individus qui choisissent la responsabilité individuelle afin de prendre leur destin en main, sinon leur vie et à minima leur quotidien en ce qu’ils n’attendent pas d’un état socialisant qu’il leur offre le gîte, le couvert, des vacances, des bons d’achat pour fêter Noël, une protection sociale, une retraite et des excuses concernant leur fainéantise d’assumer à minima leur choix de vie et en particulier lorsqu’ils choisissent de n’en faire aucun, sinon d’attendre que ceux qui vivent leur vie quotidiennement leur permettent de vivre en paresseux intellectuels et physiques tout en réclamant toujours plus de droit, moins de devoirs, plus de lois liberticides pour les autres et moins de sévérité pour leur défiance naturelle à se complaire dans un rôle de victimes expiatoires d’une société malade de ceux qui souhaitent la transformer pour la rendre plus vivable en ce qu’ils envisagent de vivre avec elle.
L’avenir d’une société émotionnellement victimocrate est l’inévitable prélude d’une société individualiste que la simple altérité se réglera dans des tribunaux de rééducation collectives dirigés par les plus intolérants avant d’être eux-mêmes jugés et condamnés à une rééducation par leurs successeurs, sauf à être toujours psychologiquement plus violent que la veille et jusqu’à ce qu’ils soient finalement voués aux gémonies par ceux qui convoitent leur trône.
J’ai une tendance naturelle à me méfier des prêcheurs de tolérance, car ils se transforment toujours en ardents promoteurs d’intolérance lorsqu’ils en ont terminé de tolérer avec douleurs les individus libres qui défendent la responsabilité individuelle. Ces mêmes prêcheurs de haine qui vendent de la bienveillance dans des vidéos Youtubesques et des ouvrages de bibliothèques Ikéatesques en sciure de bois compressé qui n’exigent de leur troupeau de suiveurs uniquement de l’adoration sans bornes, de l’amour, de l’argent et un prosélytisme pour promouvoir leur avenir adulescent, déresponsabilisant et dirigés vers l’unique pensée que cette dernière est déjà de trop et qu’un avenir radieux est promis à tous les dégénérés qui ne penseront plus rien, tout en se gavant de nourriture industrielle et de support de réalité virtuelle fournies sans limite par ces mêmes individus libres et responsables aux commandes de multinationales capitalistes qu’il est de bon ton de fustiger et de haïr.
Assumer sa vie, c’est entrer dans l’âge adulte véritable, celui que peu atteignent. Cela implique la reconnaissance de ses limites, de ses erreurs, de ses lâchetés passées et de ses conneries, mais également la volonté de continuer, de progresser, d’honorer ce qu’il y a de noble en l’homme, pour peu que l’homme ait encore un avenir.
Si cet article fait de moi un vieux con, un ringard, un réactionnaire, qu’il en soit ainsi. J’accepte avec un immense honneur d’être un vieux con ringard réactionnaire, membre du patriarcat occidental blanc des plus de 50 ans.
Je préfère être libre et exigeant que moderne et servile, car la responsabilité individuelle, si elle a un goût amer, elle seule, donne de la saveur à la vie humaine.
Une lettre à Petruška ne devant plus se refermer sans le passage de mes livres lus au cours de la semaine.
La plaisanterie
Milan KUNDERA
Édition Folio
Dépôt légal : juin 1993
Fin de la page 437 et début de la page suivante
Depuis le commencement, Vladimir avait rechigné à faire le roi. Et Vlasta ne s’en étonnait pas. Dans le temps, les garçons n’avaient besoin de personne pour faire la Chevauchée. A présent, trente-six organisations s’en occupent, jusqu’au Comité de District du Parti. Aujourd’hui, les gens ne peuvent plus rien faire tout seuls, quand ils ont en envie. Faut que tout soit dirigé d’en haut. Avant c’était les gars qui désignaient le roi. Ce coup-ci, on leur avait recommandé Vladimir, pour faire plaisir à son père, et tous avaient dû obéir. Vladimir, lui, ça lui faisait honte d’être l’enfant du piston. Les enfants du piston, personne ne les aime.
Lu et déposé dans un tiroir de mon bureau le 02 juillet 2025
L’entrée dans la vie
Georges LAPASSADE
Édition 10-18
1er trimestre 1972
Page 83
Nous retrouvons là le fil conducteur des Trois essais sur la théorie de la la sexualité : le désir humain à la puberté est sans doute motivé par la question du sexe. Mais cela n’autorise pas à confondre ce désir avec des attitudes qui anticipent un statut social, celui de l’adulte, et qui ne sont en réalité que des tentatives pour mettre fin, par la pensée imaginaire et magique, aux difficultés vécus d’un condition.
Une lettre à Petruška ne devant plus se refermer sans une citation personnelle qui vaut parfois mille mots.
Je suis autosuffisant en bonheur, car je n’attends rien des autres pour être heureux.



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